Pas de photo souvenir cette année et pour cause, je ne suis pas partie, comme on dit.
Des livres, du ciel qui change, des duels d'escrimeurs sur la scène olympique et autres corps en mouvement à l'écran, près de la muraille de Chine, auront été les ouvertures de mes vacances.
J'ai l'impression que plus que tout, j'aurai fait une chose: j'ai pris mon temps.
Il ne reste de cela que peu de traces, même si ce n'est pas rien.
L'immobilisme de ces vacances, la formidable inertie que j'y ai ressentie se propage à ce blog.
Je venais juste en quelque sorte m'en excuser, auprès de ceux qui y viennent encore, de n'y avoir pas entretenu de flamme.
Une espèce de politesse à minima.