Partout, la tête tourne, tout le temps, à chaque cliquage sur la toile, à chaque flicage, à chaque mensonge, à chaque meurtre entre amis ou pas, à chaque suicide singulier ou collectif.
En feu, jusqu'à l'eau.
Il faudrait que le coeur soit aussi en feu pour traverser les flammes. Et si le coeur l'était, "il faudrait" n'existerait pas. Il n'y aurait pas de leçon. Pas de morale, même. Pas de décalage.
Il y a trop de choses en feu
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