Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

j-jour Le réveil a enfin sonné

j-jour Le réveil a enfin sonné

Si nous ne nous occupons pas de ce qui nous regarde, qui le fera? Et qui le fera bien?


Notre sort est dans les mains de ceux dont le devoir est de représenter le peuple et sa volonté

Publié par j-jour sur 1 Février 2008, 23:12pm

Catégories : #Post référendum

 Mise à jour Samedi 2 Février

 "Car en réalité, être pour ou contre le traité de Lisbonne n’est pas la question. La seule question que tout parlementaire honnête devrait trancher le 4 février est : qui peut défaire ce que la volonté populaire a fait en 2005 ? "

extrait: lire l'article de Philippe Marliere sur le site Respublica

 


  " Ce que le Peuple a fait, seul le Peuple peut le défaire. C'est même une question de crédibilité pour notre République et pour la Démocratie Française."

  extrait lire l'article sur homo4s.over-blog


 Traité de Lisbonne : lettre ouverte à Ségolène Royal
extrait
"(...)Qu’ y aurait il de si compliqué, de si inavouable pour que les peuples européens n'aient leur mot à dire en Europe, sur son fonctionnement et les missions qui pourraient être les siennes au regard du monde entier ? Pourquoi privatiser cette question, la confier à des doctes, des experts technocratiques ou des élus et par là même rétablir un type de démocratie censitaire aux antipodes de la démocratie participative qui vous est chère. La renonciation automatique à la démocratie directe sur les enjeux européens est bien la preuve que le fonctionnement des institutions européennes est anti-démocratique et c'est bien cela qu'il faut changer aussi en Europe. Il faut donc ouvrir l’Europe au grand vent du suffrage universel ! Le respect de la démocratie dans notre pays ne vaut-il pas la peine de se battre.J'aurai sans doute en vain tenter de vous convaincre mais je sais en conscience ce qu’une femme debout aurait fait : se battre c'est-à-dire  le contraire de ce que vous apprêtez à faire.

Koffi Ghyamphy"

Lire la lettre sur http://republique.blogspirit.com/

 

Traité de Lisbonne: 59% des Français pour un référendum 

 


 

Vu de la Réunion "Il reste un week-end"

"AUJOURD’hui, à Paris, a lieu un grand rassemblement à l’appel du Comité national pour le référendum (CNR), en faveur d’une consultation populaire sur le projet de Traité constitutionnel européen dit “de Lisbonne”. En effet, le chef de l’État veut à tout prix que ce projet - une copie de la “Constitution Giscard” rejetée par les Français en 2005 - soit entériné lundi par les députés et sénateurs réunis en congrès à Versailles, à travers le vote d’une modification de la Constitution française.
Cette opération du pouvoir UMP est une grave atteinte aux principes de la République. C’est un coup de force contre le peuple, dont la Direction du PS est complice. (...)

Si lundi, à Versailles, 2 parlementaires sur 5 rejettent la gifle que des héritiers de De Gaulle et de Mitterrand veulent donner au peuple, la démocratie sera sauvegardée. Il reste un week-end pour atteindre ce but.
Sinon, il faudra s’attendre aux pires conséquences - en particulier ici à La Réunion - de l’adoption d’un traité nous imposant les règles de l’Organisation mondiale du commerce. Les candidats aux élections du 9 mars qui auront cautionné ce coup de force le paieront cher. " extraits


 

"LE PEUPLE A VERSAILLES, LE 4 FEVRIER "

"En ce début d'année 2008, l'adoption très probable par le parlement du traité de Lisbonne, maquillage du traité établissant une constitution pour l'Europe rejeté par les Français en 2005, illustre la nature des institutions de la République. Considérant que :

 les français ont rejeté un précédent texte en mai 2005 ;

 le nouveau texte, qualifié couramment de "traité simplifié", est en substance un équivalent au texte précédemment rejeté (cf. l'avis rendu par le conseil constitutionnel, par exemple).

 Le parlement réuni en congrès à Versailles, le lundi 4 février, s'il remplit sa fonction de représentation de la volonté du peuple (souverain selon la constitution), n'a que deux options :

  •  ou se prononcer contre la modification de la constitution nécessaire à l'adoption ultérieure par le parlement du "traité de Lisbonne" ; et ainsi forcer l'utilisation de la voie référendaire ; 
  •   ou, à défaut, autoriser le vote par le parlement en modifiant la constitution, et ensuite rejeter le traité lors du vote au parlement.

 Cette situation, si l'on y regarde un peu, met en évidence la vraie nature de ce que l'on appelle couramment « démocratie », parfois qualifiée de « représentative ».

Démocratie : « Les démocraties contemporaines sont issues d'une forme de gouvernement que ses fondateurs opposaient à la démocratie »* ; il faudrait faire l'histoire de l'adoption (en contrebande ?) du terme de « démocratie » pour qualifier nos régimes de gouvernement.

Représentation : il faut en fait comprendre « distinction » ; le principe de la désignation des représentants par l'élection, au suffrage universel ou censitaire, a pour effet de consacrer au pouvoir une artistocratie/oligarchie ; c'était l'objectif ouvertement recherché à la fin du XVIIIe siècle, et ceci est maintenant occulté en partie par l'adoption du terme de « démocratie », suite à l'adoption du suffrage « universel ».

L'illustration pratique actuelle est cet état de fait, où, les représentants du peuple « souverain » pourront, sans être véritablement inquiétés, aller contre la décision de la population/peuple français(e), en 2005, de rejeter le projet de traité européen. Le sentiment d'impuissance que certains d'entre nous doivent sûrement éprouver, doit permettre l'émergence d'une analyse de la nature du pouvoir institutionnel.

Cette impuissance institutionnelle, bien réelle, corrélat du régime de gouvernement représentatif, est le produit historique de la division du travail politique, solidaire de l'imposition d'une définition légitime de l'activité politique, justement celle des « hommes politiques » qui en font profession.

Ce 4 février, allons à Versailles. "

* Bernard Manin, Principes du gouvernement représentatif


http://www.tousaversaillesle4fevrier2008.fr/

 


 

Les parlementaires qui respecteront la volonté majoritaire déjà exprimée par le peuple en 2005 sur le traité européen antérieur mais quasiment identique (voir l'article Traitre européen, récapitulons sur ce blog) 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
J
Linaura, <br /> Au choix: <br /> <br /> Brûler le drapeau européen <br /> Faire une grève du silence puisque nos voix sont ignorées<br /> Brûler notre carte d'électeur<br /> Lutter avec les seuls européens qui ont droit au référendum les irlandais, pas franchement enthousiastes, pour faire peser le choix des nombreux indécis et de du côté du rejet de ce traité. <br /> <br /> "L'indécision irlandaise met en danger le minitraité "<br /> <br /> http://www.blogg.org/blog-44819-themes-referendum_sur_le_traite_de_lisbonne-153910.html<br /> <br /> Seuls 26 % des Irlandais déclarent vouloir voter «oui» au traité de Lisbonne sur les institutions européennes. Les indécis sont en revanche très majoritaires.<br /> <br /> <br /> Le sort du traité de Lisbonne sur les institutions européennes dépend maintenant du choix des quelque trois millions d'électeurs irlandais. La République d'Irlande est en effet le seul pays européen dont la constitution l'oblige à passer par un référendum avant de pouvoir ratifier le fameux minitraité. Or une immense majorité des Irlandais les deux tiers selon un sondage paru ce week-end dans le quotidien Irish Times se disent encore indécis. Avec cette proportion d'électeurs hésitants, la faible avance du oui sur le non (26 % contre 10 %) pourrait bien basculer d'ici le jour du scrutin.<br /> <br /> En 2005, les sondages sur l'ancien projet de constitution européenne donnaient une bien plus large avance au oui, avec 46 % des intentions de vote. Après le non de la France et celui des Pays-Bas, le référendum prévu en Irlande avait été annulé.<br /> <br /> Cette fois, les Irlandais sont les seuls à voter, et la pression monte, car le référendum doit absolument avoir lieu avant la fin de l'année 2008. Or le débat sur le traité de Lisbonne n'a pas réellement commencé en Irlande, et la date du vote n'a pas encore été donnée par le gouvernement du premier ministre Bertie Ahern.<br /> <br /> Le mauvais souvenir de 2001 est encore dans tous les esprits : les électeurs irlandais avaient alors rejeté le traité de Nice, avant d'être appelé à un nouveau référendum sur le même sujet deux ans plus tard. La question de la neutralité de l'Irlande avait été au passage précisée. Et les Irlandais ont finalement accepté le traité..."<br /> <br /> http://www.lefigaro.fr/international/2008/01/29/01003-20080129ARTFIG00004-l-indecision-irlandaisemet-en-danger-le-minitraite.php<br /> <br /> <br /> Je ne sais pas, c'est un sentiment d'impuissance qui risque de dominer non? <br /> Bien chaleureusement à vous.
Répondre
L
bonjour chere amie, dites moi, même si JE VEUX croire que le parlement votera pour un referendum, mais si sera NON (ce que ne m'etonnera pas du tout, la balance est plutot penchee pour avoir ce resultat) QUE DEVONS NOUS FAIRE???
Répondre

Archives

Nous sommes sociaux !

Articles récents